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    Textes | Parvulesco | Eurasisme en Russie | 2001 Напечатать текущую страницу
    Archivio de EURASIA a cura di Martino Conserva original text

    Aleksei Kiselëv

    ÉVOLUTION EURASIENNE EN RUSSIE

    LA QUESTION TCHÉTCHÉNE

     A la frontière des années 1999-2000, la partie la plus mobile, active et pragmatique de l'élite russe s'est rendue compte de la nécessité aiguë d'opérer une transition vers une politique plus " sur terre " et prenant en considération nos particularités.

    En particulier, cela s'est exprimé dans la séparation des installations idéologiques que l'Occident avait imposé à la Russie après l'effondrement, en 1991, du socialisme dogmatique. Ce dernier, à propos, en la forme dans qui il fut importé en Russie, était aussi un modèl conceptuel occidentale (c'est autre affaire, qu'il ait trouvé en Russia un terrain préparé). 

     L'accès au pouvoir de cette partie des représentants du pouvoir russe qui, ne serait-ce que dans quelque mesure, liait son futur à notre pays, était prédéterminé - à mesure que l'ultérieur occidentalisation "en haut" (et cela pas disintéressé parfois !) au détriment des intérêts du pays provoquait des enthousiasmes de plus en plus faibles "en bas". De la même manière, en s'accroissant comme une boule de neige, l'ensemble des défis de politique extérieure et interieure rendait telle position du pouvoir russe de plus en plus "lourde".

     Le changement des pierres miliaires idéologiques a lieu auparavant dans la sphère politique : acceptation d'une nouvelle orientation étatiste-patriotique,  refus de la stratégie des constantes concessions inconditionnelles aux concurrents mondiaux dans l'arène internationale et du " tutoyer " pacifiste avec les forces désintégrationnistes à l'intérieur de l'état. A' la consolidation de telles tendances contribuait la lobby euroasiste à tous les niveaux lui accessibles de la structure politique de la société russe. 
     
     

    L'évolution euroasienne appliqué à la situation en Tchétchénie

    Expression particulière de la politique nouvelle, plus euroasienne et étatiste, a été la reprise en automne 1999 des opérations de combat en Tchétchénie. La campagne précédente 1994-1996 avait été honteuseument terminé par les accords, dits de Khasavjiurt (1) avec les séparatistes tchétchénes, qui jouissaient du soutien direct étranger, en particulier des services de reinsegnement turc et proche-orientales et l'appui indirect par les structures médiatiques pro-occidentales dans la Russie. Alors, l'honteuse livraison de toute la Tchétchénie, partie du territoire de la Russie, avec sa population entière, au faveur de formations militaires multicolores derrière les slogans de la lutte pour la "paix" (une paix qui la Russie n'a pas réçu, régulièrement) et de la "cessation de la guerre", a causé du mal immense à tout le peuple russe, sans parler du peuple proprement tchétchène. Ça va sans dire, quel préjudice immense la défaite dans la lutte avec les séparatistes personnels ait apporté à l'idée de l'intégration de l'Eurasie sous l'égide de la Russie. 

     Maintenant, quand en Tchétchénie se passent des nouvelles opérations de combat, et la compréhension de l'importance de cette guerre et des fondements géopolitiques et stratégiques de sa conduite par le pouvoir russe est evident - maintenant il est temps d'éclaircir combien la compréhension de la "victoire" dans cette guerre par le pouvoir russe soit proche a celle des euroasistes. 
     
     

    Une brève digression dans l'histoire

    Les opérations antiterroristes en Tchétchénie, visant à s'opposer à la désintégration de Russie,  sont objectivement justifiées du point de vue euroasiste. Néanmoins, dans cette question il est facile de s'égarer dans les plus faciles d'enthousiasmes ou dans l'inclination vers les décisions simplistes, les raisons pour qui n'existent e ne peuvent exister. À son temps, la direction stalinienne de la URSS, pleine de soi et de la sensation de sa force, en partagéant l'idéologie progressiste européenne, trouva déjà "une simple décision", avec la déportation des " mauvaises "  tchétchéns, tousjours rebelles, dans les plaines orientales de la Sibérie et du Khazakhstan. Mais cette idée, que les emeutes constantes des Tchétchéns peuvent être expliquées par l'imperfection pas des Tchétchéns mêmes, mais de "l'idéologie la plus avancée" - la direction soviétique, bien sûr, ne pouvait pas l'admettre. Et une telle approche, naturellement,  confirmait l'antagonisme tchétchéne contre l'état soviétique. 

     C'était la praxis du régime soviétique de détruire tout ce que, à son opinion, empêcheait l'arrivée du " lumineux futur" - juste comme d'aujourd'hui les liberales-occidentalistes. Armé par une l'idéologie européenne antinational ou nationaliste borné, le régime soviétique a classifié dans la catégorie négative trop plusieurs et plusieurs, en réduisant proportionellement la catégorie positive. Cela finit par embrouiller les choses et, tout compte rendu, engendrer une répressivité  contreproductive. Ainsi les Tchétchénes se sont trouvés avec le temps dans la catégorie des ennemis, bien que  aux premières étapes du pouvoir soviétique c'était tout à fait au contraire. 

    Le nouveau pouvoir, arrivé avec la perestrojka, a hérité dans sa "nouvelle penseeé" cette étroitesse conceptuelle de l' ancien régime - héritage de toutes idéologies venues de l'Ouest - mais avec cela a été aussi pénétré par la nouvelle idée occidentale de la décomposition, affaiblissement et "extinction" de l'état. Il est naturel, que la "nouvelle" Russie, qui a vu tomber rapidement les aguilles pas seulement au niveau conceptuel mais aussi dans la sphère des force  élementaires, reçoive tous ses trente trois coups de fouet par toutes les directions -  y compris un noeud de contradictions tellement ancien que la Tchétchénie. 
     

    " Europeishina " ou  " solution " européenne  (2)

     Dans les recettes de solution de la crise tchétchène portant l'empreinte, pour ainsi dire, des conceptions "occidentales", il est absente toute préoccupation que les Tchétchènes continuaient à percevoir l'etre part de la Russie comme quelque chose corréspondant aux besoins de leur développement national. En outre, ces recettes peuvent avoir une apparence diamétralement opposé selon leurs manifestations extérieures - du déjà mentionné enthousiasme facile jusqu'aux positions défaitistes, postulant l'"incompatibilité" des deux peuples. Naturellement, qu'il est absurde que de parler de unité dans les conditions de guerre totale; mais avec l'abandon volontaire de l'initiateur même de l'union - la Russie - on a plus rien proprement de quoi parler. 

     Comme a démontré l'expérience post-Khasavjurt, laissé à lui-même le sujet séparatiste commence à se produire comme "intégrateur", en "intégrant" des parties des territoires voisins de la Russie. Dans ce cas toute la région va rester zone de conflict rampant, et parfois acharné, pour très longtemps, si non pour toujours. Le  géopolitique atlantiste Z. Brzeszinski a appellé ça comme "le procès de la transformation du Caucase dans  les Balkans euroasiens". 

     Dans l'aspect le plus pire, l'eurasisme russe peut s'éxprimer dans la sympathie aux guerrilleros tchétchènes faisant la guerre contre l'armée russe, pour quelques vagues et douteuses lignes euroasiennes. La négligence de la sphère conceptuelle engendre chéz ces pseudo-eurasistes la fausse convinction, que seulement le potentiel de force, la disponibilité à "verser du sang" soient le véritable sceau du fondément des révindications de n'importe quelle nation à l' hégemonie ou au rôle principal dans la réalisation du projet euroasien, aussi que de n'importe quel projet géopolitique. 

     En tout cas, cela est beaucoup " européen " - en vertu de l'extrême simplicité des positions religieuses-idéologiques personnelles, on tombe sous le charme du complex religieux- idéologique des peuples non-européens, qui avantageusement atténuent  leur "passionarité" non européenne (3); d'autant plus que ces mêmes systèmes religieux-politiques peuvent correspondre moins au projet euroasien que la position personnelle faiblement élaborée. Le phénomène pareil était observé, par exemple, au Afghanistan, oû les soldats soviétiques, en venaient de  faire leur "devoir internationale", réalisaient une pas trop bien entendue mission euroasienne - l'entraînement du Afghanistan au bloc des états-militants pour "le futur lumineux" contre "le capitalisme mondial". S'étant trouvé prisonniers, certain de ceux-ci devenaient musulmaines, en étant vivement pénétré par l'idée (plutôt bizarre,  si appliquée à des russes) de la guerre contre les "infidèles". 

     À titre d'exemple supplémentaire illustrant le phénomène pareil, on peut amener la guerre anglo-boère du début du XXme siècle. La lutte des Boèrs contre l'Empire Britannique, qui proclamait un douteux idéal expansionniste, provoqua une vague immense de sympathie vers les Boèrs, ainsi que l'afflux de volontaires - des "internationalistes" de toute éspèce et origine, y compris les autres puissances colonielles d'Europe. Il n'était pas important, que les "maquisard boèrs aimants la liberté " à une plus proche considération se montraient rétrogrades, esclavistes et racistes. Beaucoups éprouvaient attraction et sympathie pour leur même promptitude, qui avait l'air se ténir aux valeurs simples opposées aux valeurs bien plus douteuses de la civilisation britannique, leure promptitude à protéger son bon droit, sans parler de leur résistance désesperée à la machine militaire anglaise. 

     A' grands traits, dans les deux exemples amenées,  ces systémes de valeurs qui prétendent au globalisme ne résultent que insuffisamment fondées (scarcement, dans le cas de l'URSS ; nullement, dans le cas de l'Empire Britannique) ; les argumentations rationalistes-occidentales, éxprimées en défaut de reconnaissance de l'idée même de l'originalité de n'importe quel peuple, et se limitant à la protection " des intérêts vitales ", ainsi que une autre fois cachaient sous la masque d'eurasisme le double standard européen ("il-y-a des bonnes éthnies euroasiennes, des autres plus sauvages, des autres ancore superflues") - tout cela, ne peut absolument pas être la base originale de l'harmonie interéthnique. 

     Si dans l'armement eurasiste il y aura seulement des conceptions occidentales, l'échec total de l'intégration euroasienne - et, en particulier, une nouvelle faillite stratégique en Tchétchénie, selon le modèle Khasavjurt - deviendra inévitable. 

     Pour la Russie, qui aspire à défendre l'idée d'un monde multipolaire face à la civilisation occidentale, arrachée vers la domination mondiale (en tout cas, transocéanique), la stratégie de autorenforcement, ainsi que l'entraînement dans son propre orbite du plus grand nombre des peuples et des états du continent, apparaît imperative. L'eurasiste russe est par définition le patriote non simplement russe, mais tatare, de Carélie, allemand, nenets, tchétchéne etc. - le patriote de toutes éthnies de Russie et Eurasie. Les propriétés du caractère national du peuple russe (au déla de sa localisation géographique au coeur de l'Eurasie et de sa tradition historique) sont l'argumentation supplémentaire, ainsi que la prédétermination, la condition naturel et organique, de la mission de la Russie en qualité de créatrice d'un des pôles alternatifs. L'homme russe peut s'identifier avec le tatare, le bashkire, le daguestane, lutter pour leurs intérêts, tandis que la bonne disposition réciproque (ou bien la relation inverse) se rencontre moins souvent, si n'est pas en général absente. 

     Cependant dans le cas particulier du peuple tchétchéne, qui en vertu de circonstances historiquement formées est devenu aliment pour les forces résistant au consolidement de la Russie, un dilemma se présente ici. Comme on peut reconcilier le soutien aux attaques russes aux détachements des guerrilleros tchétchènes (ces derniers évidemment rencontrent des sympathies chez plusieurs Tchétchénes, nommément dans la Tchétchénie Supérieure, antirusse) et la solidarité avec les Tchétchénes en qualité d'ethnos euroasien? 

     Nous examinerons les schémas alternatifs à ceux européens, puisque les derniers - comme nous voyons - ne sont vraiment à la hauteur de l'objectif ambitieux de l'élimination des divisions parmi les peuples euroasiens. 
     
     

    " Asiatchina " ou " solution "  asiatique ? (4)


     Il arrive que les deux peuples-antagonistes soient tellement profondement enracinés dans la Tradition, qu'on donne pas le prétexte de l'impact de la modernité pour expliquer la lutte acharnée de l'un avec l'autre. Il ne faut pas marcher trop loin pour trouver des exemples dans l'histoire - nous avons ici l'opposition dualiste du Iran aux nomades du Turan, de la Chine aux nomades de Mongolie, des Russes aux Polovesiens, etc. Bien sûr, chacun de ces peuples est en possession des " valeurs requises" de tous les points de vue. Mais ici la raison de l'opposition n'est pas seulment dans la "collision des intérêts" ; c'est plutôt le fait même de ce que, à quelque période de l'histoire, chacun des deux peuples en lutte vient d'élaborer une commune perception du monde dualiste (selon la formule "propre"-"autrui"). Quand nous nous arrêtons sur la traditionnel, "philosophique" - pour ainsi dir - relation vers la mort, nous relevons une situation opposé à l'image de la vie consacrée par la Tradition. C'est-à-dire, les gens et les Traditions de l'Orient probablement régardent la guerre, l'hostilité avec la tribu ou le peuple voisins comme les conditions spécifiques ou ils se sont trouvé a vivre - comme être en lutte avec les ennemis de son peuple, avec les ennemis de l'idée du peuple, à la limite - avec les ennemis théologiques, et non comme "envie de pacification ". En principe, si il-y-a proportionnalité des forces en lutte, tels conflits ont le potentiel pour la suite infinie - ainsi, pour exemple, les conflicts interieurs en Afghanistan, et la contreposition à la frontière Tadjiko-Afghane ; la même chose menace de devenir pour Russie la lutte avec les separatistes, avec l'aspiration antirusse parmi les Tchétchénes. 

     Une telle guerre est absolument mieux qu'une livraison honteuse ou l'abandon; néanmoins, dans les conditions actuelles, on peut l'accepter seulement comme mesure temporaire. 

     Par quoi les conditions actuelles se distinguent de ce qu'étaient autrefois, à l'époque oû les chroniques historiques reportent les faits des oppositions entre les peuples, consacrées par la Tradition ? 

     Dans le passé les peuples d'Eurasie pouvaient se permettre le luxe de l'antagonisme, puisqu'ils étaient également heureux de résister à la tendance à l'effacement des valeurs nationales dans le cadre de l'oekoumène, chacun de ces-ci dans quelque mesure représentait l'universe des valeurs. Ce n'est pas pour rien, que le mot "oekoumène" - qui initialment s'addressait pas non plus qu'à la plénitude et auto-suffisance de leur civilisation propre aux Grecs anciens, - au cours du temps est devenu international. À l'avis des Grecs anciens, les valeurs  des "barbares" étaient "superflues" dans l'ensemble des valeurs grecques. Cette approche était partagée par les barbares mêmes, qui - en changeant les estimations dans l'image correspondant - annonçaient que le "propre" était "suffisant", mais l' "autrui" - "superflu". Avec cela, le facteur de la guerre avec n'importe quels ennemis extérieurs devenait insignifiant pour la santé spirituelle de ces peuples. 

     Jusqu'à une certaine époque, tout ce passait comme-cela. Cependant, à cette époque qui les historiens appellent ère moderne, parmi les hommes il venait évidemment de se former une nouvelle tendance - une certaine autre relation vers l'être, une vision qui différait radicalement de la vision traditionnel pour chacun des peuples de la Terre. Cela encontra le plus grand "succès" à l'Ouest, en Europe, mais finalement trouva sa patrie actuelle dans l'Occident le plus extrême, au déla de l'océan. Maintenant, la puissance y existant prétend que cette vision soie universel. 

     Peut-être, la prémonition même de sa propre condamnation - cette tradition amené par les courents migratoires dans l'extreme Occident, lieux d'ambitieuses expérimentations de création d'une humanité nivelèe, privé d'idéales - a amené à ce qu'avant l'apparition des Européens au Mexique, pour les raisons les plus mystérieuses, se sont dégarnies plusieurs villes Maya... 

     La tendance vers la stérilité des ses traditions pouvait moins "opérer" en l'Orient ; cependant, même ici maintenant on a pas assez des forces pour ignorer l'influence qui vient de l'Occident - l'expérimentation occidentale est allée trop loin, la civilisation transocéanique a déclaré comme sa zone des "intérêts vitales" tout le monde, chacun de nous. Apparemment, pourquoi aurait-elle besoin de nous ? Elle a déjà construit autour de soi-même une société heureuse - donc vivez, enjoyez-la, et que tous le monde soit envieux... Mais, voyons, au contraire - quelque chose nous est demandé pour le maintien de ce bonheur: d'être ouvert pour son puissant système de marché, que lui permet de pomper à prix de solde les ressources de nôtres marchées faibles, de nous en servir de son dollar, de soutenir le travail réel et les marchandises de son système financiére fictif... enfin, d'être le plus ouvert qu'on puisse, pour qu'il soit assuré que "sur les vastes espaces de l'ancienne URSS il n'y ait pas de nouvelle puissance capable de défier le rôle de leader des Etats Unis de Amérique". 

     On connait pas combien ce colosse expérimental soit proche de sa chute (mais plusieurs specialistes le prédisent beaucoup assurément), il peut encore emporter après lui-même le monde entier. Dans cela consiste la plus importante prémise du groupement des peuples (en premier lieu des peuples d'Eurasie avec Russie à la tête, comme directe héritière de la puissance qui freiné l'assaut occidentale à l'époque précédente) face à cette menace. 

     C'est précisement dans l'union avec les peuples voisins, que la Russie pourra défendre sa civilisation davantage; mais pour cela il conviendra ne s'adresser pas aux exemples traditionnelles de opposition et anéantissement réciproque entre les peuples, mais aux exemples d'intégration des peuples selon une idée commune bien plus anciens et consacrés par la tradition. 

     On a témoignage sur la Terre d'empires pluri-nationels partout et aux temps différents; l'histoire relativement récente de la même Europe a connu l'Empire Romain Sacré des nations germaniques, de sorte que l'exemples historique inspirateur existe même à l'Ouest du continent. 

     L'identité de la souveraineté nationale et la présence des états particulies - c'est la même fable, ainsi que la "incompatibilité" des peuples. Les mêmes états Baltiques, les premiers sortis de la formation de la URSS, maintenant aspirent à quitter instamment la "souveraineté" à nouveau retrouvée, en participant à la OTAN et la CE. C'est intéressant seulement de savoir s'ils pourront en sortir aussi vite, si soudainement souhaiteront ? Ce qu'est clair déjà maintenant - ils n'ont aucune envie d'affirmer leur souveraineté, ils ont simplement échangé "le cercle des relations". Il est clair, qu'ils ont décidé simplement de passer à côté du plus fort et - ce qu'est l'essentiel - le plus riche (au niveau de rélations personnelles la conduite pareille a même son nom spécial...), s'étant rendu compte que la puissance financière de ceux-là est maintenant une valeur plus importante pour eux que la nation ; ils n'ont pas de temps à perdre, s'ils veulent être partie "du milliard d'or" des partisans de la puissance transocéanique. Tel est le destin qu'ils ont choisi - se trimballer d'un centre de la force vers le  autre,  soit la force propre ou sale, à mesure que celle-là ou l'autre soit a son apogée. En tout cas, l'exemple des pays Baltes prouve l'absence de liaison directe entre "l'état particulier" et "la souveraineté nationale" - ce qu'il faut comprendre au sujet du règlement du conflit en Tchétchénie. 
     
     

    Solution euroasienne

     En paraphrasant un peu l'énonciation bien connue, on peut dire que la diplomatie est le registre de la guerre pas ensanglé. L'objectif proprement diplomatique qui  se pose maintenant en Tchétchénie est de persuader les représentants de la vague radicale antirusse parmi les Tchétchéns de ce que leur position est erronée, est inopportune, a fait son temps, est contreproductive, travaille contre le futur du peuple tchétchéne. Avec cette partie du peuple tchétchène qui, sans regrét, a réussi à confirmer sa situation de sujet actif et capable de se reproduire, de manière ou d'autre, directement ou indirectement, on viendra s'accorder même après la défaite militaire directe. D'ici deux objectifs mutuellement coordonnés - comment obtenir l'inaltérabilité de ces accords et avec qui conclure ceux-ci. 

     Pourquoi ces objectifs sont mutuellement coordonnés ? C'est que les figures des chefs actuels de la révolte tchétchéne sont liés à jamais à l'idée séparatiste; surtout après que plusieurs de ceux-ci n'ont pas desdeigné d'employer la terreur ouverte pas seulement contre les peuples russes et autres voisins vicini (Budënnovsk, Kizljar, Pervomajskoe), (5) mais encore contre leur même peuple (les ecécutions des " stareyshi-collaborationistes ", ecc.) (6). La reintegration des figures pareilles à l'élite russe semble peu probable, même dans le cas de Maskhadov, bien que certains cherchent d'en faire un "modéré". Enfin, il a accepté de participer directement à la planification de toutes les opérations des guerrilleros, y compris l'attaque perfide sur Grozny en 1996 après la conclusion des accords du "armistice" de Khasavjurt et "l'operation speciale explorative-diversionniste du batallion Sh.Basayev" dans l'hôpital de district. Dans le cas oû les plans des separatistes radicaux étaient réalisés, ces leurs actes ne seraient plus considéré simplement comme la tache sale de la biographie, mais, au contraire, acquéraient l'auréole d'exploits. Voilà pourquoi ceux-ci continuaient et continueront à suivre le chemin separatiste. 

     Négocier avec ceux-ci, c'est déjà inutile ;  probablement, c'était justifié en 1991, mais la direction du pays de ce temps-là - comme on l'a déjà dit est plus haute - avait tout à fait des autres buts. Pour qu'il y aient des chefs de la résistance tchétchène noveaux, pas couverts par la boue de l'infamie, s'il est convenable, les "nobles révoltés " actuels doivent partir. Ici deux variantes - rigide (à la Dudayev) et molle (à la Raduev) - ou au contraire, s'il vous plaît; probablement, dans cela on comprendra l'aide fraternelle du peuple russe aux Tchétchènes - mais simplement nous n'admettront pas que parmi leurs héros marchent des canailles. 

     Avec les commandants ordinaires, qui le destin nous fera trouver sur les places libérées, on pourra s'accorder ; et après une telle rotation des "effectifs" - certificat incontestable de la défaite portée - personne, y compris chez eux-mêmes, n'aura pas de doutes, qu'ils présentent en Tchétchénie une courant minoritaire, c'est-à-dire, ceux qui se trouve dans la minorité, représentent seulement un parmi les groupes de l'influence, à côté des  autres, plus ou moins pro-russes. 

     En principe, après que les guerrilleros tchétchénes ont exterminé ou ont obligé à partir toute la population non tchétchène sur le territoire de la Tchétchénie, garantir la souveraineté nationale n'est pas si difficile (en raison de l'absence de frictions interethnique et interconfessionales dans cette région), il suffit seulement que les parties contractantes reconnaissent que la séparation des états n'est tout à fait necessaire. Mais, quant aux contradictions et offenses accumulées, l'histoire n'a pas encore trouvé moyen meilleur  pour leur résolution, que la compréhension de l'existence d'un ennemi commun. À la rencontre de ce-ci il ne faut pas même travérser l'océan. 

     À titre d'exemple, on peut amener la dynamique des relations entre la même Tchétchénie et Grusie (Géorgie), qui étaient des ennemi-antagonistes historiques. Tellement qu'en Tchétchénie avant le XIXme siècle il y avait des esclaves - Géorgiens amenés des ruées. Mais à la fin du XX-ème siècle, le collapse de la URSS a apporté à la Grusie des vents nouveaux - elle a été demandé dans la OTAN, s'est approchée aux nouveaux "maîtres de vie", a commencé à participer aux initiatives antirusses, se préparer au nouveau rôle de "cordon sanitaire" de l'Occident. Dans cette  arène on a la convergence d'intérêts avec le régime separatiste en Tchétchénie, maintenant transféré à l'état de partisans. Toutes les offenses historiques étaient oubliés et maintenant le Ministère des Affaires Interieurs et les militaires russes reprochent constamment à la direction "indépendant" pro-OTAN de Grusie de minauder avec les guerrilleros tchétchénes. C'est-à-dire - ainsi que illustré par l'exemple donné - que les relations entre les peuples peuvent être aussi mobile que les relations interpersonnelles. 

     Sous ce rapport l'approche géopolitique représente un'instrument singulièrement adéquat et suffisant mobile de réaction conceptuelle à ces déplacements. 

    Nous nous rappellerons les événements du début du conflit azéro-arménien, tousjours dans le cadre de la URSS. L'Arménie alors - en tant que  "démocratique" (maintenant nous comprenons, qu'alors sous ce mot ils avaient en vue "pro-occidentale") - se préparait à sortir de la formation de la URSS ; les intellectuels, avec à la tête la feu Starovoytova, étaient à son faveur. 

     Maintenant, quand l'Azerbaidjan "indépendant", adversaire de l'Armenie, a choisi de s'orienter vers la Turquie, les EE .UU. et la OTAN, déjà les eurasistes sont engagées pour le soutien de l'Armenie. 

    En supposant l'approche analogue dans les affaires tchétchénes, il est facile de voir tomber au-dessus de la Grusie antirusse et pro-occidentale le danger de devenir le bouc émissaire et l'ennemi commun pour les participants au conflit tchétchéne, tellement les noeuds de la contradiction entre les Tchétchénes et les Géorgiens sont enlacées - surtous après les rumeurs des médias sur les collisions entre les habitants géorgiens de la gorge de Pankisski et les " réfugiées tchétchènes" qui cherchaient s'enfuir.

     

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